Aide-soignante débutante, accessoirement monitrice-éducatrice et bisounours.
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Perdre ses parents.
Et ce fichu crabe qui gagnait du terrain chaque jour. Les poumons, les os.
Ce texte a été initialement publié sur le blog de l’auteur, ici même->http://www.vieuxetmerveilles.com/.
Publication : 21 mai 2015
Durée de lecture : 8 mn
Nombre de mots : 1640
Une heure dans la journée d’une aide à domicile.
C’est une histoire à quatre personnages, une histoire que vivent peut-être des milliers de personnes. Une histoire de travail et de mépris. Une histoire banale dans un monde banal.
Publication : 10 août 2015
Durée de lecture : 17 mn
Nombre de mots : 3440
Une erreur de diagnostic.
Pas autiste, pas dysphasique, pas hyperactive. Juste précoce.
Un blog est consacré à Amélie.
Publication : 6 novembre 2015
Durée de lecture : 4 mn
Nombre de mots : 860
Bonjour,
À l’époque de cette histoire (il y a trois ans), j’étais une aide à domicile non diplômée, ne connaissant pas les limites légales de ses interventions, et pas assez encadrée. Depuis, mon bébé est né, j’ai été gentiment poussée vers la sortie et j’ai profité de mon chômage forcé pour suivre une formation d’aide-soignante. Maintenant, je comprends mieux les dispositifs... et je me rends mieux compte de leur instabilité. Chez nous, il y avait un CLIC, des IDEL, des MT et plusieurs SAAD mais... Pas de coordination entre tous ces services (j’imagine qu’ils communiquaient entre eux, mais nous, les aides à domicile, n’étions pas au courant). Nous étions isolées et perdues. Les situations comme celle-ci devenaient très vite source de problèmes, pour tout le monde. On parle beaucoup du maintien à domicile, c’est une vraie bonne chose, mais encore faut-il se donner les moyens de le faire correctement. Les intervenants sont souvent peu diplômés, voire pas du tout, les dispositifs ne sont pas connus des uns et des autres (HAD, accueil de jour, aides sociales financières existantes) et on maintient les aides à domicile dans un rôle d’aides-ménagères ou de sous-soignantes alors qu’elles pourraient justement être des professionnelles facilitatrices de lien entre les différents intervenants... Des initiatives existent, le #mededfr par exemple, les blogs. Merci d’être passée ici, et merci d’ouvrir le débat grâce à votre commentaire.
Madame A., c’est un peu moi, en plus vieux. Moi, je suis Madame B., B comme Babeth, B comme bonniche, bonne à tout faire ou bonne à rien, je ne sais plus trop à force. Merci pour ce témoignage très fort, qui mérite d’être lu et partagé.