Auteur, observateur, je fais mienne cette phrase de Julien Gracq : "Tant de mains pour transformer le monde, et si peu de regards pour le contempler". Je tâche d’être un de ces regards.
Le portrait d’une caissière qui écrit.
Elle me dit qu’elle se désespère d’arriver un jour à terminer vraiment quelque chose d’important, de consistant. Un roman ou un long pamphlet. Je lui demande si elle écrira sur notre rencontre.
Publication : 10 janvier 2014
Durée de lecture : 7 mn
Nombre de mots : 1460
merci beaucoup pour vos messages qui m’encouragent à continuer d’écrire. a très bientôt