Publication : 10 septembre 2014
Durée de lecture : 31 mn
Nombre de mots : 6250
Dans une école primaire.
Je suis psychologue scolaire, en ZEP, depuis une vingtaine d’années, mes dossiers ne racontent que des histoires tristes, je n’en connais jamais la fin, mais ce que j’en connais exige d’être mis en lumière, d’être dévoilé.
Bonjour,
J’ai lu votre récit avec beaucoup d’intérêt. L’histoire familiale joue un tel rôle dans la construction de l’enfant ! Ce qui est édifiant c’est le très jeune âge de ces enfants. Je suis triste et en colère de lire qu’il existe autant de misère et de souffrance. Vous n’avez pas une profession facile à exercer et vous avez un grand mérite. Merci de nous avoir donné un aperçu de la vie de ces invisibles.
Kahina
une petite boule dans la gorge en terminant cette lecture...
tellement d’injustice !
Je vous admire de faire ce métier, j’accompagne des adultes et ce n’est pas toujours facile, mais je crois que je craquerais très vite devant tant de détresses d’enfants, et ce satané sentiment d’impuissance, de lenteur, de services inadaptés...
Bravo pour ce recit !
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que ces enfants veuillent ou non "apprendre", qu’ils acceptent de progresser ou pas, je pense qu’il leur est néanmoins nécessaire de savoir qu’il existe des structures, et au delà des programmes d’aide, qu’il y a des gens impliqués pour les aider. merci de partager ces tranches de vie.